Ca ressemble à une histoire bien connue dont le protagoniste était Mr Seguin (non, pas l’homme politique, mais celui des chèvres !). Ici aussi il y a un grand méchant loup, qui vient de ressortir du bois. Je vous explique.
Suite à la catastrophe japonaise, consécutive au tremblement de terre et au tsunami, la fameuse centrale nucléaire de Fukushima a remis au devant de l’actualité, les problèmes dus à l’énergie nucléaire civile.
Quel rapport avec les chèvres allez-vous me dire ? Bonne question, j’y viens. On apprend ainsi par le Dauphiné Libéré du mercredi 23 mars, que les 25 chèvres d’Eric Poupot, dont l’exploitation est située dans le bas de la commune de Proveysieux servent de « baromètre » pour tester la radioactivité du secteur. C’est l’Institut Laue Langevin, qui effectue ainsi des relevés mensuels, et ceci depuis 1995. On va suivre l’affaire et on espère que l’ILL nous tiendra au courant, en cas de problème… A moins que les nuages radioactifs évitent Proveysieux…
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