Une pluviométrie en hausse
Là aussi, rien d’extraordinaire, mis à part le fait qu'on n'a pas eu de périodes caniculaires. Au premier semestre, le mois de février a été assez doux, mars, avril et mai, plutôt frais. Le mois de juin a, par contre, été le mois de juin le plus chaud des dix dernières années. Le deuxième semestre a commencé par un été plutôt tempéré, d’où l'impression, là aussi, d'été pourri. Septembre et octobre ont été plutôt beau et chaud, novembre frais et sec avant un mois de décembre vraiment hivernal et trois semaines de nuits de gel. Du coup, les moyennes annuelles de température ont été à la baisse. Il faut même remonter à 2013 pour avoir une moyenne annuelle aussi basse ! (voir graphique ci-dessous). Il semble toutefois qu'un rythme de 3/4 ans entre les années chaudes et froides se dégage avec, toutefois, une tendance vers une hausse rapide, comme l'indique la linéaire de tendance.
Difficile donc de tirer une conclusion météo de cette année 2021, encore une fois bien perturbée par le dérèglement climatique. Comme on dit, il n'y a plus de saisons.
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