A Quaix en Chartreuse
Pour commémorer le 73ème anniversaire de la Victoire du 8
mai 1945, les élus de Quaix en Chartreuse se sont réunis autour du monument aux
morts. Ils étaient entourés de leurs collègues de Proveysieux, de représentants
des associations d’Anciens Combattants et d’habitants du village, dont de
nombreux enfants. Dans son discours, message du Secrétaire d’État auprès du
Ministre des Armées, Pierre Faure a ainsi manifesté sa fidélité aux héros
disparus en concluant sur un ton d’actualité : « Dans une Europe réconciliée,
nous savons qu’il faut sans cesse rester vigilants pour défendre ces valeurs et
nous réaffirmons notre détermination à les transmettre aux générations futures
».
A Proveysieux
Un soleil généreux était présent pour cette cérémonie
commémorative, un moment de souvenir pour honorer les victimes, dont certains
noms restent gravés pour jamais sur le monument aux morts communal.
En présence d’une trentaine de personnes, élus, représentants des Anciens Combattants et habitants, Christiane Raffin, le maire, a lu un article paru dans le journal « Le Travailleur Alpin » du 24 aout 1944 relatant, sous le titre « Les nuits rouges », le martyr subi par des grenoblois massacrés par des tortionnaires, parmi lesquels figuraient notamment Félix Faure, artiste potier bien connu de la Poterie du Néron à La Buisserate ». « Souvenons-nous !... », précisait l’édile, «…non pas pour entretenir des haines, mais pour éviter de nouvelles flambées de racisme et de fanatisme ne provoquant d’autres conflits, d’autres atrocités ».
En présence d’une trentaine de personnes, élus, représentants des Anciens Combattants et habitants, Christiane Raffin, le maire, a lu un article paru dans le journal « Le Travailleur Alpin » du 24 aout 1944 relatant, sous le titre « Les nuits rouges », le martyr subi par des grenoblois massacrés par des tortionnaires, parmi lesquels figuraient notamment Félix Faure, artiste potier bien connu de la Poterie du Néron à La Buisserate ». « Souvenons-nous !... », précisait l’édile, «…non pas pour entretenir des haines, mais pour éviter de nouvelles flambées de racisme et de fanatisme ne provoquant d’autres conflits, d’autres atrocités ».
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